
Sur ce sentier de l’Erdre, l’odyssée était solitaire.
Le spleen du temps qui passe impose sa loi d’airain.
Capté par le soleil et son écriture spéculaire,
Il s’accroche à mon être comme un très sombre orin.
Alors que son tourment engage sa préface,
Un héron majestueux passe à portée de main.
Attiré par le miroir d’eau, il plonge vers la surface,
Saisissant le moment, sans crainte du lendemain.